
Retrouvez la présentation et le programme du Festival ici.
Femmes Solidaires du Rhône vous donne rendez-vous sur le village associatif du Festival le samedi 29 novembre, place Louis Pradel, de 14h à 18h.
Plus de 300 femmes, dont 6 représentantes de Femmes Solidaires du Rhône, se sont rencontrées autour du thème : Le féminisme une aventure contemporaine.
Vendredi 7 novembre de nombreuses personnalités du monde féministe se sont retrouvées pour un après-midi exceptionnel. Ils et elles ont pris la parole sur le thème du congrès. Fatima Lalem, Adjointe au Maire en charge de l’égalité Femmes Hommes, et Sabine Salmon, Présidente Nationale de Femmes Solidaires ont ouvert le congrès.
Avec la participation artistique de Ariane Ascaride, comédienne, et de Marie Desplechin, auteur.
Des femmes de la planète venues d'Algérie, Colombie, Ethiopie, Inde, Irak, Israël, Italie, Monténégro, Liban, Palestine, Pologne, Suède étaient présentes pour parler de la situation des femmes dans leur pays et construire des partenariats de co-développement.
Cette administration est composée d’un service central et d’un réseau de délégué-es régionales et de chargé-es de mission départementales placées sous l’autorité des Préfets, au plus près des territoires.
Le SDFE a pour principales missions :
- de favoriser l’égal accès des femmes et des hommes aux responsabilités politiques et économiques,
- de favoriser l’accès à l’emploi des femmes et de promouvoir l’égalité salariale et professionnelle,
- de favoriser une meilleure articulation des temps de vie,
- de garantir l’accès aux droits fondamentaux,
- de préserver les acquis (interruption volontaire de grossesse, contraception…),
- de lutter contre les violences faites aux femmes.
Il est un interlocuteur privilégié des associations de défense des droits des femmes sur tout le territoire, et des élus et organismes qui agissent pour l’égalité entre les femmes et les hommes.
Sans ministre en titre, sans administration nationale et sans réseau régional et départemental, l’égalité et les droits des femmes vont régresser, alors même que le Président de la République avait déclaré vouloir « appliquer à tous les niveaux et dans toutes ses dimensions (salaires, responsabilités, reconnaissance sociale), l’exigence d’égalité ».
L’égalité entre les femmes et les hommes est une valeur fondamentale portée par l’Organisation des Nations Unies, l’Union Européenne et la République Française. Au moment où s’ouvre la Présidence française de l’Union Européenne, le gouvernement est à contre courant des préconisations et des avancées européennes !
Mobilisons nous pour :
Le maintien du Service des droits des femmes et de l’égalité et de son réseau de délégué-es régionales et de chargé-es de mission départementales, doté de véritables moyens d’intervention
La nomination d’un-e ministre chargé-e des Droits des femmes et de l’égalité
Pour plus d'informations et signer la pétition, cliquez ICI.
Nous avons aussi informé de notre position députés et sénateurs de notre département, en leur demandant d'intervenir auprès des députés européens de leur sensibilité politique, et de nous faire part de leur propre sentiment sur cette question :
Nous avons pris connaissance du projet de directive sur la rétention et l’expulsion des personnes étrangères, qui sera soumis au Parlement européen dans les semaines qui viennent.
Nous tenons à vous faire part de nos plus vives critiques à l’égard de ce projet de directive. Comme vous le savez certainement, celui-ci prévoit une durée de rétention pouvant atteindre 18 mois pour des personnes dont le seul délit est de vouloir vivre en Europe, ainsi qu’une interdiction, pour 5 ans, de revenir en Europe, pour toutes les personnes renvoyées.
Avec les 14 organisations européennes qui ont lancé l’appel « Non à la directive de la honte ! », nous nous insurgeons contre ces dispositions qui portent en elles une logique inhumaine. Cette logique est celle de la généralisation de l’enfermement des personnes étrangères, qui stigmatise les sans-papiers et les transforme en délinquants à exclure.
Nous vous invitons donc à vous positionner officiellement contre ce projet et à le rejeter lorsqu'il sera soumis à voter approbation.
Pour signer la pétition contre cette directive, c'est ici.