Agir pour l’égalité et l’autonomie réelle des femmes par le travail
En France, les femmes sont majoritaires parmi les salarié-es touchant le SMIC, les travailleurs et travailleuses précaires. Plus de 80% des personnes travaillant à temps partiel sont des femmes.
Elles constituent aussi la grande partie des retraité-es vivant avec des pensions très faibles.
Voilà pourquoi les femmes représentent la majorité des pauvres de notre pays ; la pauvreté, ici comme partout dans le monde, a un visage de femme !
Le travail, ainsi que la retraite, devraient pourtant être synonymes d’autonomie et de vie décente pour toutes et tous.
Ce n’est pas la toute nouvelle loi sur le marché du travail, issue de l’ANI (Accord National Interprofessionnel), qui va améliorer la situation, bien au contraire.
Elle va en effet toucher en priorité les plus précaires, donc les femmes, qui seront moins protégé-es qu’auparavant contre les demandes de mobilité, notamment géographiques, ou les baisses de salaires temporaires liées à des reculs d’activité dans les entreprises.
Femmes solidaires demande donc au gouvernement de mettre en place de toute urgence des actions concrètes pour changer cette situation dont :
-la revalorisation des bas salaires et des professions où les femmes sont majoritairement présentes,
-l’interdiction du recours au travail à temps partiel si la création d’emplois à temps complet est possible,
-l’obligation pour les entreprises, sous peine de sanction, d’attribuer une part significative de leurs budgets de formation aux salariés les moins qualifiés et payés, qui sont majoritairement des femmes, afin qu’elles puissent prétendre à des postes mieux rémunérés,
-la hausse des montants des pensions de retraite les plus bas dont de nombreux bénéficiaires sont des femmes.
Pour qu’une réelle égalité existe entre les femmes et les hommes dans notre pays, les femmes doivent pourvoir être autonomes financièrement.
Femmes solidaires appelle à se mobiliser sur ce sujet partout en France à l’occasion des défilés du 1er mai.
Elles constituent aussi la grande partie des retraité-es vivant avec des pensions très faibles.
Voilà pourquoi les femmes représentent la majorité des pauvres de notre pays ; la pauvreté, ici comme partout dans le monde, a un visage de femme !
Le travail, ainsi que la retraite, devraient pourtant être synonymes d’autonomie et de vie décente pour toutes et tous.
Ce n’est pas la toute nouvelle loi sur le marché du travail, issue de l’ANI (Accord National Interprofessionnel), qui va améliorer la situation, bien au contraire.
Elle va en effet toucher en priorité les plus précaires, donc les femmes, qui seront moins protégé-es qu’auparavant contre les demandes de mobilité, notamment géographiques, ou les baisses de salaires temporaires liées à des reculs d’activité dans les entreprises.
Femmes solidaires demande donc au gouvernement de mettre en place de toute urgence des actions concrètes pour changer cette situation dont :
-la revalorisation des bas salaires et des professions où les femmes sont majoritairement présentes,
-l’interdiction du recours au travail à temps partiel si la création d’emplois à temps complet est possible,
-l’obligation pour les entreprises, sous peine de sanction, d’attribuer une part significative de leurs budgets de formation aux salariés les moins qualifiés et payés, qui sont majoritairement des femmes, afin qu’elles puissent prétendre à des postes mieux rémunérés,
-la hausse des montants des pensions de retraite les plus bas dont de nombreux bénéficiaires sont des femmes.
Pour qu’une réelle égalité existe entre les femmes et les hommes dans notre pays, les femmes doivent pourvoir être autonomes financièrement.
Femmes solidaires appelle à se mobiliser sur ce sujet partout en France à l’occasion des défilés du 1er mai.
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